Il faut parfois sortir des médias traditionnels et se pencher sur les esthétisations excessives de la pensée, notamment distillées dans les "nouveaux médias" numériques, pour se rendre compte du chemin parcouru par le poison libéral. Mais commençons par les serpents habituels, avant d'en venir aux scorpions digitaux.
Alors que l'Assemblée nationale a voté la suspension de la réforme des retraites – qui est dans les faits un simple décalage – ce 12 novembre, sur fond de déchirement de la gauche – enfin la "gauche" enserrée par des cohortes de guillemets –, la médiocratie libérale en a profité pour...
Envie de lire la suite ?
Cet article est réservé aux abonné·es. Rejoignez-les et (re)découvrez huit titres de la presse indépendante.
Profitez de la sélection de La Presse libre
Lisez tout ce que voulez
Soutenez la presse indépendante
Déjà abonné·e ? Connectez-vous
Profitez de la sélection de La Presse libre
Lisez tout ce que voulez
Soutenez la presse indépendante
Déjà abonné·e ? Connectez-vous
