Le chantier de l’autoroute Toulouse‐Castres ira‐t‐il à son terme ? Le 30 décembre, la 4e chambre de la Cour administrative d’appel de Toulouse dira s’il existe ou pas une raison impérative d’intérêt public majeur (RIIPM) permettant de détruire l’environnement pour construire l’A69 et l’A680.
Le juge Denis Chabert et ses quatre assesseurs suivront‐ils le rapporteur public, Frédéric Diard ? Comme il l’a affirmé, lors de l’audience du 11 décembre, celui‐ci estime que, compte tenu des 132 000 habitants et des 50 000 emplois du bassin castrais, « il est difficile de renier la construction d’une liaison autoroutière ». Un argument d’autorité qui va à l’encontre...
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